Aujourd’hui, nous vous proposons un exemple B2B de chez nous. La branche business de l’entreprise télécom flamande a proposé cette approche à part pour les entrepreneurs et les managers n’ayant que peu de temps.
1 L’en-tête s’accompagne naturellement du logo, parfaitement reconnaissable. Avec juste un petit ajout: « Business ». En dehors de cela, l’ensemble est très sobre. Aucune digression n’est possible pour le lecteur pressé. Le message est clair: « c’est nous et c’est pour parler affaires ».
2 Le message derrière l’e-mail. Pas plus de deux lignes, avec la plus importante mise en avant. En grande lettres bien lisibles. Le message se saisit parfaitement d’un seul coup d’œil, sans devoir chausser ses lunettes. N’importe quel lecteur pressé qui scanne ses messages sur un iDevice peut le voir et le lire. Et de nos jours, dans le secteur B2B, plus de 60% des e-mails sont vus pour la première fois sur un smartphone.
3 Le premier véritable dessin. Le nom de la formule que les clients professionnels ont généralement déjà – il s’agit clairement d’un e-mail d' »upselling » – combiné à une autre formule, autour de laquelle on a déjà beaucoup communiqué, offre des appels gratuits. Tout cela exprimé dans un joli dessin. Plus besoin de lire pour comprendre. C’est en outre un format qui éveille la curiosité. Notez aussi le trait fluo sur le nom du produit.
4 Ici, nous retombons sur le principe de la répétition, mais on y ajoute un élément de service. Un centre d’assistance est mis spécialement à la disposition des clients professionnels. A nouveau représenté par une esquisse claire. On travaille ici avec des icônes qui disposent d’une autre forme de reconnaissabilité, y compris en dehors du contexte de ce message. Chaque icône s’accompagne d’une légende dans une police plus grande, soulignée d’un trait de fluo. En tant que lecteur, l’effort à fournir pour comprendre le message est réellement minime.
5 Nous arrivons ensuite au Call-to-Action. Ici aussi, l’approche est différente. Il y a d’abord le CTA classique, contenant un lien renvoyant vers le site web. Le message du CTA est clair, vous pouvez sélectionner votre formule. Mais le second s’éloigne de la réaction digitale classique. Un numéro de téléphone pour joindre une personne prête à vous aider à choisir la formule adéquate. Cela peut s’avérer cette fois le plus rapide.
Car si vous lisez ce message sur votre smartphone, le logiciel de messagerie identifie cet élément comme un numéro de téléphone. Il suffit de l’effleurer et vous avez l’assistance en ligne. Pratique pour ces plus de 60% d’utilisateurs professionnels qui consultent votre e-mail, qui sait, en voiture – même si c’est interdit. Qu’est-ce que vous faites quand vous êtes en route et que vous avez un peu de temps? Faire grimper les chiffres de conversion d’un e-mail?